Il
est dit dans la strophe 20 des Grimnismal
Huginn
et Muninn
Volent
chaque jour
Au-dessus
de la vaste terre
Je
crains pour Huginn
Qu’il
ne revienne point
Mais
je m’inquiète plus encore pour Muninn.
Le
dit du Très-Haut 138
Je
sais que je pendis
À
l’arbre battu des vents
Neuf
nuits pleines,
Navré
d’une lance
Et
donné à Odhinn,
Moi-même
à moi-même donné,
|